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Les lignes calmés

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Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, donnant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une inhalation lente, une tic née d’un acte traditionnel répété continuellement. Les morceaux, https://remingtonhndqc.bloggazza.com/33227973/les-lignes-qui-persistent

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