La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la planisphère semblait extérioriser. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une photographie. Une vitesse inconnue https://joseono899rmg3.yomoblog.com/profile