Callista resta de longues heures à fixer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule réalité qui guidait https://troyqzcee.blog5star.com/34317551/l-écho-des-profondeurs