Arthur resta figé sur la scène, l'attention explicite sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, zéro brise assez grande pour imprimer un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer simple, tels que s’il répondait à une présence indisctinct. https://stephenzbyvq.bloggactivo.com/33071793/la-chant-des-absents